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  • 22 février 2013 - Par Au fil des mots et de l'histoire

     

     Le 20 février 1746 – La prise de Bruxelles dans EPHEMERIDE MILITAIRE carte-bruxelles-1746-150x150

     

    La prise de Bruxelles

    D’après « La conquête des Pays-Bas par le Roy, dans la campagne de 1745, avec la prise de Bruxelles en 1746 » – 1747

     

    Quoique le siège de Bruxelles n’ait été entrepris que sur la fin du mois de janvier de l’année 1746, je regarde néanmoins la prise de cette ville comme un événement dépendant de la campagne de 1745, et comme la clôture de cette même campagne.

    Les ennemis en retirant leurs troupes de la Flandre, après que nous eûmes pris la ville d’Ath, se persuadèrent qu’ils pouvaient les faire hiverner avec d’autant plus d’assurance et de tranquillité, que vraisemblablement les nôtres devant être fatiguées des sièges qu’elles avaient faits pendant la campagne de 1745, avaient autant, et même plus besoin de repos que les leurs.

    Mais nos troupes toujours infatigables, et M. le Maréchal toujours entreprenant, lorsqu’il s’agit de la gloire, ayant formé le dessein de faire abandonner aux ennemis les différents postes qu’ils avaient conservés sur le canal de Wilworden, et ce général ayant cru devoir tenter en même temps de s’emparer de la ville de Bruxelles, fit toutes les dispositions les plus secrètes et les plus promptes pour assurer l’exécution de son projet.

    Les ordres furent envoyés à nos troupes, qui avaient été distribuées dans les places de la Flandre, de la seconde et troisième ligne, de se rendre à Maubeuge, Ath, Tournay, Oudenarde, Gand et Dendermonde.

    Le vendredi 28 Janvier 1746, toutes nos troupes partirent de leurs quartiers pour se porter sur la rivière de Senne et sur le canal de Wilworden, au-dessus et au-dessous de Bruxelles. La plupart cantonnèrent ce jour-là dans les villes et villages voisins de la rivière de Dendre, et marchèrent le samedi 29 vers les postes qui leur avaient été marqués.

    Pendant la nuit du 29 au 30, M. de Vaux, colonel du régiment d’Angoumois, s’avança avec trois bataillons et quelques compagnies de Grenadiers devant le château de Mariensal, situé sur la rive gauche du canal, qu’il passa dans des bateaux, après avoir emporté la redoute des Trois Fontaines, où il fit prisonnier de guerre un détachement de troupes hollandaises.

    Le dimanche 30, le Maréchal de Saxe, à la tête d’un corps considérable d’infanterie et de cavalerie, passa à dix heures du matin le canal sur un pont de pontons. Ayant marché sur Bruxelles, il fut joint près de cette place par les troupes avec lesquelles M. de Clermont-Gallerande avait passé la Dendre à Hall et M. le Maréchal commença dans cette partie l’investissement de Bruxelles.

    En même temps, M. le Marquis de Contades fit de son côté jeter un pont sur le canal près de Laken, et se rendit maître d’une redoute voisine, ainsi que du Fort des Trois Trous : cent trente hommes qui occupaient ce fort, furent faits prisonniers de guerre.

    M. le Marquis d’Armentières, Maréchal de Camp et Commandant à Ath, se porta avec un corps de troupes entre Bruxelles et Louvain, et Bruxelles se trouva entièrement investie.

    M. de Philippe, Lieutenant Général, avec le corps de troupes qu’il commandait à Binch, empêcha les garnisons des villes de Mons et de Charleroy, de rien entreprendre qui pût être contraire aux dispositions qu’avait faites M. le Maréchal.

    Le mardi premier février, M. de Beaussobre, Brigadier et Colonel du régiment de Hussards de son nom, ayant rencontré au pont de Valhem un corps d’infanterie ennemie, le chargea, et l’obligea à repasser la rivière, qu’il remonta pour en visiter tous les gués. M. de Beaussobre entra ensuite dans Malines avec tout son détachement.

    Le mercredi 2, l’artillerie, et tout ce qui était nécessaire pour le siège, arriva. Ce jour et les suivants furent employés à placer les pièces dans le parc.

    Un détachement de Grassins (arquebusiers de Grassin) fut envoyé à Louvain, pour sommer les habitants d’ouvrir leurs portes. Sur le refus qu’ils firent, les Grassins mirent le feu à une des portes, et entrèrent dans la place, au grand étonnement des habitants, qui ne pouvaient pas s’imaginer qu’une poignée d’hommes fût capable d’entrer de force chez eux, et les faire contribuer avant qu’ils eussent seulement eu le temps de se reconnaître.

    Le vendredi 4, M. le Marquis de Contades, Maréchal de Camp, fut envoyé avec un détachement composé d’un régiment de Dragons et de quelques compagnies de Grenadiers, pour reconnaître Wilvorden que M. le Maréchal avait fait bombarder la veille. M. de Contades s’étant présenté devant Wilvorden, força la garnison qui était de deux cent cinquante-six hommes, de se rendre prisonnière de guerre, et nos troupes entrèrent dans la place.

    La nuit du 7 au 8, la tranchée fut ouverte devant Bruxelles, vis-à-vis de l’ouvrage à corne de la porte de Scarbuck. Elle fut montée par M. le Comte de Logny-Montmorenci, Maréchal de Camp, ayant sous ses ordres le premier et le troisième bataillon du régiment de Piedmont, les trois bataillons du régiment de Limosin, les deux bataillons du Régiment d’Eu, le premier bataillon du régiment de Bettens, le régiment de Languedoc, celui de Traînel, et quatre cents Dragons. On fit mille toises d’ouvrages, en partant du centre de la parallèle, et en s’étendant de droite et de gauche.

    Le mardi 8, la tranchée fut relevée par M. le Marquis de Beaufremont, Maréchal de Camp, ayant sous lui le second et le quatrième bataillon du régiment de Piedmont, les trois bataillons du régiment royal des Vaisseaux, le premier bataillon du régiment de la Couronne, le premier de celui de Monnin, le premier de celui de Wittmer, et quatre cents Dragons.

    Pendant la nuit du 8 au 9, on déboucha de la parallèle sur la droite de la chaussée, par un boyau qui forma une communication vers la gauche, jusqu’à cette même chaussée qui avait été masquée dans cet endroit. On commença tout de suite une seconde parallèle à 60 toises du Chemin-couvert.

    Le mercredi 9, M. le Comte de la Suze, Maréchal de Camp, releva la tranchée avec le premier et le troisième bataillon du régiment de Normandie, le second et le troisième du régiment de la Couronne, le régiment royal la Marine, le second bataillon du régiment de Bettens, le second de celui de Wittmer, et le premier de celui de Diesbach, avec quatre cents Dragons.

    La nuit du 9 au 10, le travail fut continué sur la gauche, et la seconde parallèle fut prolongée. On commença l’établissement de deux batteries de quatre pièces de canon chacune, et d’une troisième de mortiers.

    Le jeudi 10, la tranchée fut relevée par M. le Comte de Logny-Montmorenci, Maréchal de Camp, ayant sous ses ordres le second et le quatrième bataillon du régiment de Normandie, le troisième bataillon de celui de Bettens, le second de celui de Monnin, le troisième de Wittmer, le second de celui de Diesbach, et les deux bataillons du régiment de Chartres, avec deux cents Dragons.

    La nuit du 10 au 11, on déboucha de la seconde parallèle par trois endroits : on s’avança par des ziguezagues vers les angles saillants de l’ouvrage à corne, jusqu’à huit toises de la palissade. On forma vers la gauche une seconde communication pour les deux parallèles, et on travailla à l’établissement d’une quatrième batterie composée de quatre mortiers.

    Le vendredi 11, la tranchée fut relevée par M. le Marquis de Beaufremont, Maréchal de Camp, ayant sous ses ordres le premier et le second bataillon du régiment du Roi, les trois bataillons du régiment Dauphin, le régiment d’Angoumois, le troisième bataillon du régiment de Monnin, le troisième bataillon de celui de Diesbach, et deux cents Dragons. M. d’Auteuil, ingénieur, et deux officiers furent légèrement blessés.

    Pendant la nuit du 11 au 12, on fit un boyau pour former une troisième parallèle, qui communiqua de la sape droite à celle du centre, et on poussa deux ziguezagues à la gauche. Depuis le 10, le feu des assiégés fut très vif, et M. le Marquis de Brézé, Lieutenant Général, fut chargé de la conduite du siège.

    Le samedi 12, huit mortiers et quatre pièces de canon commencèrent à tirer au point du jour. M. le Comte de la Suze, Maréchal de Camp, releva la tranchée avec le premier et le troisième bataillon du régiment de Piedmont, les deux bataillons du régiment d’Eu, le régiment de la Marine, celui de Languedoc, le premier bataillon du régiment de Bettens, le premier de celui de Diesbach, et deux cents Dragons.

    La nuit du 12 au 13, on acheva la communication de la droite au centre de la troisième parallèle. On travailla à l’établissement de deux nouvelles batteries. On fit à la droite, à la gauche et au centre, des cavaliers de tranchée, d’où nos grenadiers (par leur feu) obligèrent les assiégés à abandonner le Chemin-couvert.

    Le dimanche 13, la tranchée fut relevée par M. le Comte de Logny-Montmorenci, Maréchal de Camp, ayant sous ses ordres le second et le quatrième bataillon du régiment de Piedmont, le troisième et le quatrième bataillon du régiment du Roi, le premier bataillon de celui de Monnin, le premier de Wittmer, le régiment de Chartres, le second bataillon du régiment de Diesbach, et deux cents Dragons.

    Pendant la nuit du 13 au 14, on poussa trois crochets en avant de la gauche de la dernière parallèle, sur l’angle de l’ouvrage à corne. On couronna une partie du Chemin-couvert de la demi-lune, et l’on y fit quatre traverses tournantes de droite et de gauche.

    Le lundi 14, M. le Marquis de Beaufremont, Maréchal de Camp, releva la tranchée avec le premier et le troisième bataillon du régiment de Normandie, les trois bataillons du régiment Dauphin, le régiment de Traînel, le second bataillon de celui de Wittmer, le second bataillon de Bettens, et deux cents Dragons.

    La nuit du 14 au 15, la communication ayant été établie de la droite à la gauche, on fit des descentes sur la prolongation des faces de la demi-lune, ainsi que sur le couronnement de la place d’armes saillante. M. de Lanne, capitaine au régiment de Normandie, fut tué.

    Le mardi 15, dix-huit pièces de canon et six mortiers commencèrent à tirer au point du jour. M. le Comte de la Suze, Maréchal de Camp, releva la tranchée, ayant sous ses ordres le second et le quatrième bataillon du régiment de Normandie, les trois bataillons du régiment de Limosin, le second du régiment de Monnin , le troisième de Wittmer , le régiment d’Angoumois, et deux cents Dragons.

    Le corps de troupes qui était à Geneppe, sous les ordres de M. le Comte de Relingue, Maréchal de Camp, marcha à Louvain, dont le commandement fut donné à M. le Comte de Lowendal, Lieutenant Géneral.

    Pendant la nuit du 15 au 16, on travailla au couronnement de la place d’armes de la corne droite, et on enveloppa une partie du chemin couvert de la corne gauche. On commença en même temps l’établissement de quatre batteries, dont deux furent destinées, l’une à battre en brèche le corps de la place, sur le prolongement de la face droite de la demi-lune, et l’autre à tirer sur la face droite de l’ouvrage à corne.

    Le mercredi 16, la tranchée fut relevée par M. le Comte d’Herouville de Claye, Maréchal de Camp, avec le premier et le second bataillon du régiment du Roi, les trois bataillons du régiment Royal des Vaisseaux, le troisième bataillon du régiment de Monnin, le troisième bataillon de celui de Diesbach, le premier bataillon de celui de Chartres, le troisième bataillon de celui de Bettens et deux cents Dragons.

    La nuit du 16 au 17, on perfectionna la communication au débouché du couronnement de la Place d’Armes saillante de la demi-lune, pour la descente du fossé. On mit en état de tirer les quatre nouvelles batteries de canon, et on travailla à l’établissement de deux autres batteries de mortiers.

    Le jeudi 17, M. le Marquis de Guerchy, Maréchal de Camp, releva la tranchée avec le premier et le troisième bataillon du régiment de Piedmont, les trois bataillons du régiment de la Couronne, le régiment de Languedoc, le premier bataillon du régiment de Bettens, le second de celui de Chartres et deux cents Dragons.

    Pendant la nuit du 17 au 18, on fit la descente du fossé dans la contrescarpe de la Place d’Armes saillante de la demi-lune, sur le parapet de laquelle on se logea.

    M. le Chevalier d’Aubeterre, Chevalier de l’Ordre Militaire de Saint Louis et Colonel du Régiment Royal des Vaisseaux, allant reconnaître le logement du fossé, reçut une blessure dont il mourut six heures après. Le régiment Royal des Vaisseaux fut donné à M. le Comte de la Serre d’Aubeterre, son frère, auparavant Mestre de Camp, Capitaine de Cavalerie dans le régiment de Chabrillant, et aide-maréchal des logis de l’armée.

    Le vendredi 18, la tranchée fut relevée par M. le Duc de Chevreuse, Maréchal de Camp, ayant sous ses ordres le second et le quatrième bataillon du régiment de Piedmont, le troisième et le quatrième de celui du Roi, le premier de celui de Monnin, le premier de celui de Wittmer, le premier de celui de Diesbach, le premier de Chartres et deux cents Dragons.

    Pendant la nuit du 18 au 19, on fit de nouvelles communications vis-à-vis les débouchés de la descente du fossé, qui furent élargis.

    Le samedi 19, M. de Romecourt, Maréchal de Camp, releva la tranchée avec le premier et le troisième bataillon du régiment de Normandie, les trois bataillons du régiment Dauphin, le second de Bettens, le second de Wittmer, le régiment de Traînel, et deux cents Dragons.

    Le feu de nos batteries étant continuel, on se flatta que les brèches pourraient être praticables le lendemain.

    Pendant la nuit du 19 au 20, le feu de nos batteries fut si vif et si continuel, que les assiégés s’étant aperçus le dimanche 20 que les brèches du corps de la place et de l’ouvrage à corne étaient praticables, se déterminèrent à arborer le drapeau. Les otages furent envoyés de part et d’autre.

    La capitulation fut signée le même jour par M. le Comte de Kaunitz, pour la ville et les Autrichiens, et par M. le Général Wander-Duyn, pour les troupes hollandaises qui y étaient en garnison. M. le Maréchal de Saxe dépêcha M. de Vaux, Colonel du Régiment d’Angoumois, pour en porter la nouvelle au Roi.

    Les articles de la capitulation des garnisons autrichiennes et hollandaises furent :
    - que toute la garnison qui se trouvait dans Bruxelles serait prisonnière de guerre, et conduite où il plairait au Roi.
    - que la porte dite la porte de Flandres, serait livrée le lundi 21 aux troupes françaises.
    - que la Garnison de la place sortirait en quatre divisions, qu’elle sortirait par la même porte, les vendredi 25 , samedi 26, dimanche 27 et lundi 28, pour être conduite dans telle place qu’il plairait à Sa Majesté d’ordonner.
    - que les assiégés conserveraient leurs chevaux, et que les armes des Hollandais seraient remises aux magasins, pour être rendues lors de l’échange.
    - que les troupes pourraient faire transporter leurs effets à Anvers, à Breda et à Mastrich ; et que pour cet effet, il leur serait fourni des voitures aux dépends du pays.
    - que les officiers de l’Etat-Major seraient relâchés sur leur parole, dès qu’ils le souhaiteraient.
    - que les domestiques de M. le Duc de Cumberland pourraient se retirer avec tous les effets et chevaux de ce Prince ; qu’à cet effet, il leur serait fourni des escortes, passeports et voitures nécessaires.
    - que M. le Comte de Kaunitz aurait la même liberté pour sa personne, sa maison, ses effets, et pour ceux qui voudraient le suivre, à l’exception des officiers chargés de la recette des deniers publics, qui resteraient pour rendre compte de leur administration.
    - que les effets du Prince Charles de Lorraine resteraient où ils se trouveraient, jusqu’à ce qu’il fût pris des arrangements pour les faire conduire où ce prince jugerait à propos, dans le terme de trois mois.
    - que le secrétaire de la Légation des Etats Généraux, pourrait rester dans la ville jusqu’à ce qu’il eût reçu des ordres ultérieurs.
    - que les bateliers hollandais, avec leurs bateaux et tous autres sujets de la République, pourraient retourner chez eux.
    - que les bâtiments royaux seraient conservés dans leur entier, à l’exception des effets militaires qui s’y trouveraient.
    - que la ville conserverait l’Artillerie qui lui appartenait en propre.
    - que le cours de la Justice serait maintenu dans tous les tribunaux, et exercé au nom de Sa Majesté Très-Chrétienne.

    Le lundi 21, nos troupes prirent possession à midi de la Porte de la Ville, dite la Porte de Flandres, en la manière accoutumée.

    La garnison de la ville sortit en quatre divisions, les vendredi 25, samedi 26, dimanche 27 et lundi 28 février.

    Cette garnison était composée de dix-huit bataillons, savoir :
    - Deux bataillons des Gardes Bleues.
    - Un bataillon du Régiment de Waldeck.
    - Un bataillon du Régiment de Cronstrom.
    - Un bataillon du Régiment d’Aylva.
    - Un bataillon du Régiment de Smissart.
    - Un bataillon du Régiment de Guy.
    - Un bataillon du Régiment d’Elias.
    - Un bataillon du Régiment de Débitz.
    - Neuf bataillons des Régiments Suisses de Constant, de Stusler et de Planta.

    La Garnison de Cavalerie était composée de deux escadrons du Régiment de Hoest-wan-Hoey, et de cinq escadrons de Dragons du Régiment de Nassau, de deux cents Dragons du Régiment de Ligne et de cent cinquante Hussards.

    Les principaux officiers qui furent faits prisonniers, furent : M. le Marquis de los Rios, Feldt-Maréchal ; les deux Princes de Ligne, l’un général d’Infanterie, et l’autre de Cavalerie ; le Comte de Lanoy, Lieutenant Général et gouverneur de la Ville ; le Comte de Lallain, le Marquis de Bournonville, le Comte de Maldeghem et le Comte de Culemberg, Lieutenants Généraux ; M. de Gibson, de Wild, de Mahontza, Oconor et Tonnerfeldt, Majors Généraux ; un général de Hussards, le Duc d’Urse, le jeune Prince de Stolber, et M. de Bon, Colonel des Ingenieurs.

    La dernière division étant sortie le lundi 28, nos troupes entrèrent aussitôt dans la ville.

     

  • 2 commentaires à “Le 20 février 1746 – La prise de Bruxelles”

    • Jacques FRAGNON on 28 juillet 2016

      que son devenu les 600 prisonniers de guerre hollandais capturés à la prise de Bruxelles en 1746 qui se retrouvèrent à Montluçon le 5 avril 1746

      trouvé dans les archives de Désertines Allier en cherchant les naissances, le curé avais mis un petit chapitre.

      Merci
      Fragnon

    • Torcheboeuf on 10 septembre 2022

      En 1746 le curé de la paroisse St-Etienne de Vézelay (Yonne) note : « nous avons actuellement dans cette ville 361 soldats hollandais prisonniers ».

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